Chaque fois que j'implique un lavement dans mon selfbondage, il y a toujours un élément subtil de risque dans la scène; Serai-je capable de le retenir pendant que je me libère? Que se passe-t-il si je ne peux pas! Je suppose que cela fait partie du frisson, mais cela me fait prendre quelques précautions supplémentaires et, pour le moment, me limite à la salle de bain.

J'ai soigneusement choisi ma tenue pour la séance, ne souhaitant pas risquer mon «meilleur» équipement avec tout le week-end à venir. En regardant avec mon collant habituel et le genou au-dessus de la bite, j'ai procédé pour m'assurer que mon bouchon de lavement était en place en toute sécurité et le tube qui monte dans mon dos juste au-dessus de mon tête. J'ai suivi en enfilant une vieille paire de collants noirs avec un «trou de bite» dans l'entrejambe et enfin ma vieille combinaison sur le dessus, qui me tenait presque entièrement enfermée, avec seulement mes avant-bras et ma tête découverts. J'ai étroitement lacé mes bottes à talons hauts dans le cadre de la situation difficile que je prévoyais !

Ce devait être une session courte, mais je voulais avoir un "vrai" selfbondage, donc pour ma méthode de libération, j'avais choisi le "long-string and key". C'est une méthode très simple mais efficace - L'idée est de fixer fermement une extrémité à tout ce à quoi vous êtes attaché (dans ce cas, ma chaise, mais vous pouvez l'attacher à votre corps). Vous obtenez la libération en tirant la ficelle vers vous jusqu'à ce que vous ayez la clé ou le couteau pour vous libérer.

Plus la corde est longue, plus vous devez tirer longtemps, plus elle est fine et glissante, plus elle est difficile à tirer et plus il est facile de glisser de vos mains vous obligeant à recommencer. Les seules règles sont que vous devez pouvoir atteindre la corde la plus proche de vous avec vos mains. Vous devez vous assurer aussi que la corde ne peut pas rester coincée en la tirant vers vous (un peu coincée peut être amusant, tant que c’est avant la rupture !). J'utilise une corde de nylon fine de 10 m de long, souple, très glissante et résistante. J'ai disposé la longueur à travers la porte ouverte de la salle de bain et le long du couloir, en m'assurant que la clé des menottes était solidement attachée à l'extrémité et que l'autre extrémité était fermement attachée à la chaise où je m'attendais à ce que mes poignets menottés soient.

J'ai amorcé le lavement en suspendant le bocal à environ 1,5 m au-dessus de ma position assise, j'ai purgé l'air du tuyau et serré l'extrémité aussi près que possible de l'endroit où je serai attaché. J'avais positionné la chaise aussi loin que possible des toilettes (la salle de bain est grande, mais pas massive - donc ce n'était que d'environ 3 m environ, mais je sentais que cela ajoutait de toute façon à ma situation difficile), et je me suis mis à organiser tout l'attirail restant à portée de main.

Confiant que rien n'avait été oublié ou laissé hors de portée, je me suis assis dans une position inversée sur la chaise - avec ma poitrine contre le dossier, les jambes de chaque côté et mon cul légèrement sur l'avant du siège. Tout d'abord, j'ai connecté le lavement à mon plug et j'ai relâché un peu d'eau, suffisant pour souffler une petite bulle d'air et un filet d'eau dans mon côlon… Mon corps picotait déjà d'anticipation. Je resserrai le tuyau au-dessus de ma tête et me mis à attacher mes chevilles à la chaise.

J'avais délibérément choisi une longue longueur de corde, et j'ai donc fait 10 tours autour de ma cheville gauche bottée et de la jambe gauche de la chaise, en la serrant deux fois, avant de remonter la corde sur mes cuisses, puis de répéter le processus sur ma droite pour les chevilles et le pied de la chaise. J'avais encore beaucoup de corde dans mes mains, alors j'ai passé la corde autour du haut de mes cuisses et sous le siège de la chaise environ 3 fois et, sur une impulsion, j'ai utilisé le dernier mètre environ pour attacher ma taille aussi près du dossier que Je pourrai gérer. Bien que j'étais certain que le tuyau allant du sac de lavement à mon bouchon était suffisamment solide pour ne pas être écrasé par cette dernière liaison, j'ai relâché la pince et j'ai été récompensé par un autre filet d'eau qui a confirmé que tout allait bien avant de le refermer.

Alors que je m'assis avec mes jambes, mes cuisses et ma taille étroitement liées à la chaise, j'ai été surprise de me trouver tremblant d'un mélange d'excitation et d'effort, de la sueur apparaissait sur mon front et j'ai réalisé, pas pour la première fois, combien d'efforts physiques il a fallu faire pour me mettre en place dans une session d'auto-bondage. L'anticipation se construisait également comme une précipitation pour terminer mes fixations.

J'adore être bâillonné, alors ma tête a été rapidement recouverte de 2 mi-bas, suivis d'un bâillon de boule fermement bouclé. Chaque main et avant-bras a ensuite été enfermé dans une autre paire de mi-bas à gauche et à droite, tous les 4 tirés vers le haut et au-delà de mes coudes pour former une «moufle» restrictive sur chacune de mes mains. Finalement, j'étais prêt à m'engager dans mon esclavage total. J'ai effectué un dernier contrôle sur ma situation difficile et j'ai trouvé que c'était bon…

Le tuyau de lavement était en boucle depuis le sac, devant ma tête, puis à nouveau jusqu'à sa connexion avec le tuyau dans mon dos à la prise. Une légère traction a ramené le tuyau et le collier au niveau de la taille, mais une fois relâchés, ils ont basculé vers le haut et loin de mon corps - parfait.

J'ai menotté mon poignet gauche devant le dossier de la chaise et j'ai tiré le poignet droit et la chaîne de liaison derrière l'une des cordes de taille attachées au dossier de la chaise pour empêcher tout mouvement vers le haut (vers le tuyau de lavement) ou latéralement. J'ai revérifié que je pouvais facilement atteindre mon échappement `` longue corde et clé '' et quand j’étais certain que tout allait bien, j'ai tendu la main vers le haut avec ma main droite et j'ai doucement tiré le collier de serrage du lavement jusqu'à ce que je puisse le saisir dans ma main gauche.

C'était plus difficile qu'il n'y paraît; le nylon de mes mitaines aux genoux était très glissant et donnait l'impression que la pince en acier était comme une perle de verre huilée dans mes mains. Ce n'est que lorsque j'étais sûr d'avoir une bonne prise en main que j'ai abaissé mon poignet droit et j'ai enclenché la menotte avec une lente série de clics.

J'étais maintenant coincé jusqu'à ce que je récupère la clé, loin à la fin de cette longueur de corde, mais ma situation n'était pas encore terminée. Pendant de nombreuses minutes, je me suis simplement délecté de l'impuissance de ma situation, profitant de l'étrange liberté dans mon esprit qui semble toujours contredire la servitude de mon corps. J'ai tendu chaque jambe à tour de rôle, puis mes poignets, ma taille et enfin tout mon corps - rien de ce qui était lié ne bougeait de plus de quelques centimètres et j'étais bel et bien attaché.

Satisfait de ne pas pouvoir me dégager, même si je le voulais, j'ai finalement pris une profonde inspiration et relâché la pince du tuyau de lavement, le jetant loin de ma position liée. Le tuyau libéré s'est soulevé au-delà de tout espoir de l'atteindre et l'eau dans le lavement était libre de s'écouler. J'étais maintenant condamné à subir le lavement jusqu'à ce que je puisse récupérer la clé, ce que je savais par expérience n'allait pas être une tâche facile.

Comme pour certaines de mes expériences précédentes de lavement, il n'y avait pas de sensation soudaine de fluides en courant, en fait, il n'y avait aucune sensation du tout. Bercé par cela, je n'ai pas immédiatement commencé la tâche de rapprocher ma clé de déverrouillage - en fait, je suis devenu déterminé à tenir le plus longtemps possible avant même de commencer. Je soupçonne maintenant que j'ai dû, par un changement chanceux ou une planification minutieuse (devinez lequel), réussir à faire correspondre le lavement à ma température corporelle, réduisant ainsi les sensations aux premiers stades.

Ayant maintenant joué la dernière partie de ma situation difficile, je me suis bien assis pour profiter du moment

Ma bouche bâillonnée laissait échapper de la salive à travers les doubles peaux en nylon sur ma tête penchée, avec des gouttes occasionnelles de liquide vers le bas sur le sol carrelé ou sur ma poitrine créant une tache humide sur le tissu de ma combinaison en nylon si je me penchais en arrière. Ma position était confortable, mais restreinte avec le bas de mon corps, la taille vers le bas, presque totalement immobile et mes poignets, attachés dans leurs menottes en acier, limités à un si petit degré de liberté que c'était inutile. Seules mes épaules, mon cou et ma tête avaient la liberté.

Lentement, très lentement, j'ai finalement commencé à sentir le lavement se frayer un chemin en moi. Au début, c'était une légère pression sur cet endroit magique et provoquant des remous de nature érotique. Peut-être une minute ou deux plus tard, la pression a changé et est devenue plus «rassasiante», mais non moins agréable et loin d'être inconfortable. J'ai décidé que le moment était peut-être venu de voir comment mon plan d'évacuation fonctionnait.

En luttant avec mes doigts recouverts de nylon, et donc rendus encore plus maladroits par les deux couches et la corde douce et soyeuse, j'ai tâtonné pendant de nombreuses secondes en essayant de saisir la ligne de libération dans mes mains. J'ai finalement trouvé assez de grip pour commencer la récupération de ma clé de menottes. J'avais fixé mon défi juste et toutes les quelques secondes, il me semblait que je sentirais le cordon de soie glisser à travers ma prise maladroite, me laissant recommencer.

Les sensations dans mon côlon devenant de plus en plus exigeantes, j'ai finalement trouvé un moyen de tirer la corde entre mes doigts, toujours engourdie par la double peau du tissu, sans la laisser tomber. J'ai réussi à gagner ce qui ressemblait à plusieurs mètres, mais ce qui ne faisait en fait pas plus de 50 cm, avant de laisser tomber à nouveau ma ligne de fuite.

En m'arrêtant un instant, j'ai contemplé mon destin que je m'étais imposé - je pouvais juste voir le tuyau de lavement transparent au-dessus de ma tête, mais le revêtement en nylon cachait le détail de savoir s'il y avait encore un flux de fluides ou non. Étais-je maintenant aussi plein que j'aurais ou y avait-il plus de lavement à venir? Je ne savais pas et j'ai trouvé la sensation passionnante. Aurais-je simplement à tenir ce que j'avais jusqu'à ce que je me libère ou y avait-il tellement plus à venir que je serais à l'étroit et désespéré avant de m'échapper? Les sentiments à l'intérieur de mon corps n'avaient toujours pas atteint les demandes urgentes de libération immédiate, alors je ne voulais pas me précipiter.

De retour à mon évasion et j'ai recommencé la tâche lente et encombrante de travailler la corde un centimètre à la fois à travers mes doigts enfermés. Cette fois, je n'ai pas laissé tomber la corde, mais la clé s'est accrochée une ou deux fois sur le tapis du couloir, provoquant une montée d'adrénaline momentanée alors que je luttais pour surmonter le blocage obstiné de la liberté.

Je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour enfin saisir la clé dans mes doigts vêtus de mitaines, peut-être 10 minutes, peut-être seulement 5 - cela semblait beaucoup plus long à l'époque. Mais là je me suis assis, ma liberté dans ma main, et je me suis arrêté…. Je n'étais pas encore désespéré d'être libre. Il n'y avait aucune demande urgente de mon corps pour expulser le lavement profondément à l'intérieur. J'ai rapidement pris une décision et j'ai jeté le cordon et la clé attachée aussi loin que possible de mon corps lié. J'avais décidé de rester comme ça un peu plus longtemps…

Une fois de plus, il y avait un frisson étrange dans ce que j'avais fait en faisant le choix de rester lié plus longtemps. Je me suis délecté de mon impuissance auto-imposée et j'ai laissé mon esprit vagabonder dans la fantaisie et l'érotisme. Je pourrais simplement frotter mes mamelons encastrés contre le dossier de la chaise en bois pour obtenir une sensation frustrante et agréable (les gars: si vous n'avez jamais joué avec vos propres mamelons, la prochaine fois que vous êtes excité, donnez-leur un ajustement - cela peut être étonnamment érotique) . J'ai de nouveau expérimenté le bas de mon corps attaché, tendant et tirant sur les cordes et les menottes qui m'attachaient à la chaise. Merveilleusement, j'ai réalisé que j'étais toujours totalement impuissant et incapable de changer de position de plus de quelques cm dans n'importe quelle direction. Je ne pouvais même pas manipuler le plug dans mon cul, même si essayer de le faire a déclenché une sensation qui a reconcentré mon attention sur la réalité de ma situation.

Les premiers remous, presque doux, du lavement piégé avaient commencé à se faire sentir. J'avais besoin de chercher la liberté ou je pouvais me retrouver en difficulté. Une fois de plus, je cherchai ce qui me parut long pour attraper le cordon à travers mes moufles, le laissant tomber deux fois, jusqu'à ce que la clé des menottes soit dans mes doigts. En fait, manipuler la clé dans la serrure de la manchette a été beaucoup plus difficile que je ne l'avais imaginé, mais a ajouté un «certain quelque chose» à mon expérience. Cela a dû me prendre un certain temps pour décompresser mes poignets parce que quand ils sont enfin devenus libres, mon lavement se faisait sentir d'une manière beaucoup plus intense.

Maintenant, le plan astucieux d'utiliser une seule longue longueur de corde pour me lier à une chaise entrait en jeu. Après avoir enlevé les mi-bas de mes mains, j'ai commencé à me détacher, mais tout cela a pris du temps car je devais défaire les nœuds dans un ordre strict, désenvelopper une partie de mon corps, puis passer à l'étape suivante minutieuse, et tout cela a été associé aux rappels urgents de plus en plus nombreux de mon côlon que le lavement voulait vraiment être libéré (la corde de ma taille aurait-elle pu avoir quelque chose à voir avec cela?).

Finalement, j'étais délié, mais pas tout à fait libre; J'étais toujours assise sur la chaise, donc le plein effet du lavement ne se ferait pas sentir jusqu'à ce que je me lève pour me diriger vers les toilettes en attente. Je savais que me tenir debout rendrait mes envies encore plus désespérées, mais je savais aussi par expérience qu'après avoir les cuisses écartées et attachées dans la position où j'étais assise, mes jambes seraient très raides - en plus je marcherais en hauteur avec à-coups à cause des bottes sur un sol carrelé. Des précautions seraient nécessaires pour éviter une chute et la vitesse n'était pas une option (encore une fois, cela avait été une petite partie de mon plan - chaque petit détail ajoute à l'ensemble). Après avoir pris quelques respirations profondes et massé mes cuisses et mes jambes, j'étais prêt à partir. J'avais repéré le collier de serrage et je devais l'atteindre en premier pour éviter tout déversement, donc mes premiers pas vacillants m'ont éloigné de ma destination finale mais m'ont au moins permis de refermer le tuyau de lavement (j'ai aussi rapidement vérifié que le sac était bien vide). Maintenant, j'entreprenais le dandinage indigne sur le sol de la salle de bain, chaque pas rendu perfide par la menace toujours présente de glisser sur mes talons à pointe métallique sur les carreaux. J'aurais pu enlever mes bottes, mais l'idée de prendre autant de temps et la nécessité de se pencher pour les délacer (je les lace toujours étroitement et fais un double nœud) n'était pas attrayante.

Enfin, j'ai atteint ma destination et après un moment ou deux pour me débarrasser des collants, de la combinaison et (très soigneusement) du bouchon de lavement, j'ai pu m'abaisser avec gratitude sur le siège des toilettes - ce n'est que quelques minutes plus tard que j'ai réalisé que je était toujours bâillonné!

Qu'est-ce qui s'est bien passé?

Tant pis: j'avais décidé de me donner un lavement pendant que j'étais lié et j'avais réussi. Ma situation difficile prévue a très bien fonctionné et les sensations que j'ai ressenties pendant la séance étaient toutes incroyables.

Qu'est-ce qui pourrait être amélioré?

Je veux expérimenter les lavements, les volumes étant les plus faciles à changer. J'ai lu dans le forum des membres prennent des quantités beaucoup plus importantes de liquides que je le fais habituellement. Je suppose que nous avons tous notre capacité individuelle ou nos limites agréables, alors je chercherai des opportunités dans un proche avenir pour voir quelles sont les miennes. Les recettes de lavement et les températures sont un autre domaine d'intérêt, j'utilise généralement quelque chose à la température du corps (au toucher) et de l'eau purifiée (bouillie et laissée à refroidir), mais j'ai ajouté un peu de sel ou du savon pur dans le passé - pour être honnête, je ne pouvait «ressentir» aucune différence. Les suggestions sont les bienvenues ici, en particulier sur un lavement qui peut être conservé en toute sécurité (n'oubliez pas, je serai lié!) Et est facile à préparer sans attirer l'attention de ma copine!

Une libération chronométrée du lavement qui déclenche également le début de mon auto-bondage de forme de libération. Je pourrais utiliser des minuteries à glace pour cela, mais l'expérience a montré qu'il y avait des écarts inacceptables dans le moment où les touches tombent ou le lavement est relâché. À mon niveau actuel d'expérience de lavement (je me vois toujours comme un `` novice ''), je suis préoccupé par un délai trop long entre le début du lavement et la possibilité de gagner en liberté - je ne sais pas encore quelles sont mes limites au-dessus 5 à 10 minutes, c'est à ce moment que je m'échappe habituellement. Mais l'idée d'un lavement «soudainement» commençant à un moment donné après que je suis devenu lié et que je ne puisse pas contrôler quand exactement cela se produit est très, très excitante. Un autre avantage de ceci serait que je pourrai plus facilement ajouter un bandeau à ma séance, n'ayant plus besoin de voir la pince et le tuyau pour configurer la libération du lavement.

Une «longue corde» plus longue est peut-être la modification la plus simple. Même la longueur apparemment longue que j'ai utilisée dans cette session était, en fin de compte, facile à récupérer (deux fois). Donc, une longueur plus longue, peut-être plus de 30 m, serait une simple amélioration. Mais cela pose ses propres défis, notamment trouver une corde aussi longue et appropriée et s'assurer qu'elle ne s'emmêle pas ou ne s'accroche pas (je pense que la zigzaguer dans le couloir fonctionnerait). Je pourrai aussi expérimenter avec différents matériaux, comme la ligne de nylon de pêcheur. Cela a un diamètre très fin, ce qui serait très difficile à manipuler à travers mes doigts à double enveloppe, peut être acheté en grandes longueurs (100 m plus!) Et peut être très solide (je recommande un minimum de 10 kg, et j'éviterais rien de moins). Le seul inconvénient est qu'il semble enclin à se tordre sur lui-même, ce qui pourrait entraîner des enchevêtrements.

Peut-être que je pourrais d'une manière ou d'une autre combiner la longue corde avec la libération chronométrée du lavement - maintenant c'est une pensée!

Et enfin - un fantasme que j'ai eu pendant la séance est d'impliquer d'une manière ou d'une autre un autre type d'apport de liquide f o r c é à savoir l'avaler par ma bouche bâillonnée. Je soupçonne que je n'ai pas actuellement l'équipement dont j'ai besoin pour cela, et que je devrais également m'entraîner en toute sécurité d'abord (je ne veux pas m'étouffer avec ce que je dois boire!), La pensée reste cependant un très érotique et encore une fois, je salue les suggestions et les idées sur la façon dont je pourrais y parvenir.

Et ainsi se termine ma première vraie session de 2011 - je l'ai apprécié et j'espère que vous avez apprécié mon récit.

Jouez en toute sécurité

MJ

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